Pourquoi la connaissance se perd… et comment Face2Faces la structure

Les connaissances critiques d’une entreprise ne se classent pas facilement et échappent souvent à toute structuration systématique. Une grande partie de ces savoirs reste tacite, dispersée dans les métiers, dépendante des personnes et rarement formalisée.

Le CIGREF, club informatique des grandes entreprises françaises dont la finalité est la promotion de l’usage des systèmes d’information, rappelle que plus de 80 % des connaissances essentielles résident “dans la tête des gens” : pratiques métier, échanges informels, règles implicites, habitudes locales ou documents non référencés.
Ces savoirs, pourtant stratégiques, deviennent difficiles à transmettre, à exploiter ou même à protéger.

Parallèlement, notre équipe de direction a identifié un problème devenu central dans le numérique : la domination du flux vertical collaboratif, qui place tout le monde dans un seul fil.
Ce mode vertical est rapide, mais il entraîne un mélange des sujets, une perte de contexte et une incapacité à capitaliser la connaissance produite par les équipes.

En croisant les regards des directions Design, Fabrication, Finance, Achat, Logistique et Commercial, nous avons formulé une réponse structurelle : un flux horizontal coopératif, organisé par métier, par thématique et par projet.
Ce modèle sépare les compétences, apporte du contexte, clarifie les échanges et construit une mémoire opérationnelle fiable.

C’est précisément ici que Face2Faces intervient : la plateforme transforme les savoirs tacites en informations structurées, traçables, partageables et pleinement propriétaires de l’entreprise.
Elle crée un espace coopératif où la connaissance ne se perd plus, mais devient une mémoire collective solide et exploitable.