Face2faces réunit enfin les documents et les conversations dans un même espace logique.
1. De la GED à la GEC : une continuité naturelle
Il y a vingt ans, les entreprises ont découvert la GED – Gestion Électronique des Documents.
Une invention majeure : pour la première fois, les dossiers papier devenaient numériques, classés, traçables, sécurisés.
La GED a mis de l’ordre dans les documents du monde professionnel.
Mais pendant que les fichiers se rangeaient… les conversations, elles, continuaient à se perdre.
E-mails, chats, portails, messageries — tout s’accumule, sans structure, sans logique, sans mémoire.
2. Le problème : le désordre conversationnel
Aujourd’hui, 80 % du savoir d’une organisation circule dans des échanges non classés.
Les idées, les validations, les décisions disparaissent dans des flux chronologiques.
Nous vivons dans un chaos numérique permanent : on communique beaucoup, mais on ne capitalise rien.
Le résultat :
• impossible de retrouver l’origine d’une décision,
• des heures perdues à chercher un message ou une pièce jointe,
• une mémoire collective fragmentée.
Le numérique a accéléré le travail,
mais il a désorganisé la connaissance.
3. La GEC : Gestion Électronique des Conversations
C’est ici qu’intervient la GEC – Gestion Électronique des Conversations.
Une invention simple et puissante :
Réunir la parole et la preuve, la discussion et le document, dans un même espace structuré.
Avec la GEC, chaque projet devient un classeur numérique,
et chaque sujet un intercalaire.
Dans chaque intercalaire :
• la GED pour les documents (preuves, rapports, fichiers),
• la GEC pour les échanges (messages, validations, décisions).
Les deux cohabitent ensemble, organisés, traçables, vivants.
4. Le concept Face2faces : la messagerie-classeur
Face2faces n’est pas une messagerie de plus.
C’est une messagerie-classeur, où la communication devient un savoir organisé.
Chaque intercalaire contient :
• les documents liés à un thème,
• les conversations qui leur donnent sens.
Le fil vertical de discussion (rapide) rencontre la logique horizontale du classeur (structurée).
Ce qui était séparé — communication et archivage — devient une seule et même expérience.
5. Une invention universelle
Cette logique s’adapte à tous les métiers :
• un cabinet comptable qui veut garder trace des échanges clients,
• une mairie qui centralise ses projets et courriers,
• une entreprise industrielle qui veut relier production et décisions,
• un réseau de franchise qui partage savoir-faire et procédures.
Partout où il y a des documents et des échanges, la GEC donne une structure, une mémoire et une méthode.
6. La forme la plus naturelle : le classeur
Le classeur à intercalaires est une métaphore universelle.
Nous l’avons tous utilisé avant le numérique.
Face2faces en reprend la logique, mais en la rendant dynamique et intelligente :
Un geste simple : ranger.
Une promesse forte : retrouver.
Un résultat inédit : comprendre.
Le numérique retrouve ainsi la rigueur et la clarté du papier, sans perdre la fluidité du digital.
7. Pourquoi c’est une invention mondiale
Aucune autre plateforme n’a su relier :
• la traçabilité documentaire (GED),
• la structuration conversationnelle (GEC),
• et la logique thématique du travail réel.
La GEC est à la communication ce que la GED fut aux documents :
une révolution silencieuse, mais définitive.
8. Une nouvelle ère du numérique
Face2faces inaugure une ère de continuité :
celle où le savoir ne se perd plus,
où chaque décision laisse une trace,
où chaque projet devient un espace complet de mémoire vivante.
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Découvrez comment la GEC transforme la façon de travailler.
Face2faces réunit la précision de la GED et la vie de la GEC.
La communication devient un capital.
La connaissance devient visible.
Le travail retrouve sa logique