Origine

L’origine de la messagerie-classeur Face2Faces

L’origine de la messagerie-classeur Face2Faces

1. Les années 80-90 : l’âge du classeur physique

Chaque commande, chaque projet, trouvait sa place dans un classeur dédié. On ouvrait le classeur, on voyait immédiatement les intercalaires thématiques : “factures”, “bons de livraison”, “correspondance client”. Le système était simple : un message ou un document, une thématique, un emplacement clair. Quand un fournisseur appelait, on ouvrait l’intercalaire, on retrouvait la lettre, la réponse, la preuve de commande. La mémoire de l’entreprise tenait sur des étagères, visible et ordonnée. Bien sûr, cela prenait de la place. Mais cette discipline apportait une sérénité : rien n’était perdu, chaque décision était traçable, chaque échange retrouvable en quelques secondes.

1. Les années 80-90 : l’âge du classeur physique

Chaque commande, chaque projet, trouvait sa place dans un classeur dédié. On ouvrait le classeur, on voyait immédiatement les intercalaires thématiques : “factures”, “bons de livraison”, “correspondance client”. Le système était simple : un message ou un document, une thématique, un emplacement clair. Quand un fournisseur appelait, on ouvrait l’intercalaire, on retrouvait la lettre, la réponse, la preuve de commande. La mémoire de l’entreprise tenait sur des étagères, visible et ordonnée. Bien sûr, cela prenait de la place. Mais cette discipline apportait une sérénité : rien n’était perdu, chaque décision était traçable, chaque échange retrouvable en quelques secondes.

2. Le tournant des années 90 : trop de commandes, trop de papiers

Avec l’augmentation du volume d’activité, les classeurs se sont multipliés. Des dizaines, puis des centaines d’étagères débordaient de dossiers. L’idée d’une alternative numérique a germé : et si l’on pouvait conserver cette même logique d’intercalaire, mais sans la contrainte matérielle ? C’est là que sont apparues les premières tentatives de “classeur électronique”. Des logiciels comme Lotus Notes ont voulu reproduire la centralisation, mais très vite, l’outil a montré ses limites.

3. L’arrivée du mail : la promesse et l’illusion

Le mail s’est imposé comme la grande révolution de communication. Fini les courriers imprimés, fini les fax. Tout devenait instantané. Mais rapidement, un problème est apparu : les mails ne se classaient pas par thématique. Ils s’empilaient en flux chronologique, sans logique métier. Résultat : pour retrouver une information importante, il fallait relire des dizaines de messages, fouiller dans sa boîte ou ses sous-dossiers, souvent sans succès. Ce qui promettait efficacité a introduit du désordre, de la surcharge, et une fatigue nouvelle.

4. Les années 2000-2010 : la dispersion des messageries

Avec les messageries instantanées (WhatsApp, Slack, Teams, etc.), le problème s’est aggravé. Certes, on gagnait en réactivité. Mais chaque sujet s’entassait dans un fil vertical interminable. Les décisions se noyaient dans les emojis, les documents se perdaient entre deux discussions. Les entreprises se sont retrouvées avec une multitude d’outils parallèles : mails, chats, SMS, plateformes collaboratives. La promesse de fluidité s’est transformée en surcharge cognitive. Ce n’était plus le travail lui-même qui épuisait, mais la manière de communiquer.

5. Le constat : retour à la logique du classeur

En observant cette fatigue numérique grandissante, une évidence s’est imposée : les outils avaient oublié une règle simple, que le papier respectait naturellement. On ne classe pas un échange par date, mais par sujet. C’est en retrouvant ce principe fondamental – un intercalaire = un thème = un suivi clair – qu’est née l’idée de Face2Faces.

6. L’invention de Face2Faces

Face2Faces reprend la rigueur du classeur à intercalaires et l’adapte au monde numérique. Chaque projet devient un classeur digital. Chaque thématique est un intercalaire. Chaque message ou document est rangé à la bonne place, dès l’envoi. La solution est hybride : • un fil vertical pour collaborer rapidement, comme dans un chat, • des blocs horizontaux pour capitaliser, structurer et archiver durablement.

7. Le résultat : du désordre à la clarté

Avec Face2Faces, les équipes retrouvent ce qu’elles ont perdu avec le mail et les messageries dispersées : • une mémoire organisée, • une visibilité immédiate des demandes et des décisions, • une réduction nette de la charge mentale.

En somme, Face2Faces n’a pas inventé un nouveau mode de communication : il a simplement remis de l’ordre dans ce que le numérique avait dérangé, en redonnant au “classeur à intercalaires” ses lettres de noblesse.

Paul Fitoussi
Fonndateur Face2Faces

2. Le tournant des années 90 : trop de commandes, trop de papiers

Avec l’augmentation du volume d’activité, les classeurs se sont multipliés. Des dizaines, puis des centaines d’étagères débordaient de dossiers. L’idée d’une alternative numérique a germé : et si l’on pouvait conserver cette même logique d’intercalaire, mais sans la contrainte matérielle ? C’est là que sont apparues les premières tentatives de “classeur électronique”. Des logiciels comme Lotus Notes ont voulu reproduire la centralisation, mais très vite, l’outil a montré ses limites.

3. L’arrivée du mail : la promesse et l’illusion

Le mail s’est imposé comme la grande révolution de communication. Fini les courriers imprimés, fini les fax. Tout devenait instantané. Mais rapidement, un problème est apparu : les mails ne se classaient pas par thématique. Ils s’empilaient en flux chronologique, sans logique métier. Résultat : pour retrouver une information importante, il fallait relire des dizaines de messages, fouiller dans sa boîte ou ses sous-dossiers, souvent sans succès. Ce qui promettait efficacité a introduit du désordre, de la surcharge, et une fatigue nouvelle.

4. Les années 2000-2010 : la dispersion des messageries

Avec les messageries instantanées (WhatsApp, Slack, Teams, etc.), le problème s’est aggravé. Certes, on gagnait en réactivité. Mais chaque sujet s’entassait dans un fil vertical interminable. Les décisions se noyaient dans les emojis, les documents se perdaient entre deux discussions. Les entreprises se sont retrouvées avec une multitude d’outils parallèles : mails, chats, SMS, plateformes collaboratives. La promesse de fluidité s’est transformée en surcharge cognitive. Ce n’était plus le travail lui-même qui épuisait, mais la manière de communiquer.

5. Le constat : retour à la logique du classeur

En observant cette fatigue numérique grandissante, une évidence s’est imposée : les outils avaient oublié une règle simple, que le papier respectait naturellement. On ne classe pas un échange par date, mais par sujet. C’est en retrouvant ce principe fondamental – un intercalaire = un thème = un suivi clair – qu’est née l’idée de Face2Faces.

6. L’invention de Face2Faces

Face2Faces reprend la rigueur du classeur à intercalaires et l’adapte au monde numérique. Chaque projet devient un classeur digital. Chaque thématique est un intercalaire. Chaque message ou document est rangé à la bonne place, dès l’envoi. La solution est hybride : • un fil vertical pour collaborer rapidement, comme dans un chat, • des blocs horizontaux pour capitaliser, structurer et archiver durablement.

7. Le résultat : du désordre à la clarté

Avec Face2Faces, les équipes retrouvent ce qu’elles ont perdu avec le mail et les messageries dispersées : • une mémoire organisée, • une visibilité immédiate des demandes et des décisions, • une réduction nette de la charge mentale.

En somme, Face2Faces n’a pas inventé un nouveau mode de communication : il a simplement remis de l’ordre dans ce que le numérique avait dérangé, en redonnant au “classeur à intercalaires” ses lettres de noblesse.

Paul Fitoussi
Fonndateur Face2Faces